Au Chishaku-in temple, je tombe en fascination devant deux rochers transformés en vasques d’ablutions et quelques veines du plancher en passe de devenir des montagnes escarpées...
Au Tofukuji temple, le Honbo garden (1939) nous offre une tempête figée de graviers ratissés se brisant silencieusement sur de grands étocs noirs. En écho les veines et noeuds des planchers dessinent tantôt des yōkai tantôt des jardins étranges...