(= poésie foutraque n'ayant aucun sens et ne rimant à rien, quoique)

« Quauteuj »
Extraordinaire ligne de con qui tend l’abri des ans
Le mat le cou l’âge dans tes mains
Exige un lit d’ail, un souci de l’affection
A la limite de l’impossible
Ne briquons pas en pensant, à bord, aux as
Au contraire, adoptons un marché
L’as d’art est très doux à l’os par exemple
Fait dans un déni
Ô ton nez kaïra de socialiste
Déni à la renommée mondiale
Elaboré avec un lit
Donne aux ans une apparence de port
Bouture aux âmes
Faite à l’aide d’un fils
Binant la nature résistante
Niqués, astiqués, on fête
Dès le premier jour du soir
Ô bout râpé du poisson et navet
La patine d’un ou deux décès
Le match est évidemment cuit à table
Plus les ans sont portés
Plus ils se patinent en beauté
La croupe très étudiée
De la femme-épouse
Les courbes des hanches
Tout allonge et embellit l’an
An dont la différence se sent au port
Hissez-vous sur et par les ans !