Toujours (s') étonner, (se) surprendre ou (se) faire rirefléchir.
Pourquoi nous laissons-nous enfermer dans la discussion sur la retraite à 60 ans (les
syndicats) ou à 62 ans (le Medef et le gouvernement).
Comme Paul Lafargue "Le droit à la paresse" (1880), je prône la journée de 3 heures dédiées à la collectivité ( les 35 heures allaient dans ce
sens)
le reste de la journée étant dédié à l'émancipation !
Voilà pourquoi, pour révolutionner les mentalités (c'est le rôle de l'artiste) je prône la retraite à 50 ans à taux
plein.
Avant 50 ans : ce sont les années d'étude, l'éducation des enfants, le travail et l'usure qu'il génère, qui
sont pris en compte.
Après 50 ans : nous misons sur la maturité de chacun, sur la créativité et la transmission de son expérience
et de sa pratique personnelle (et pourquoi pas la reprise d'études). Libre alors aux retraités de continuer à travailler ou non sachant que leur retraite leur permet de définir leur liberté.
Alors on ne dépense plus sa vie à la gagner.
La retraite pleine versée à 50 ans agirait comme un "booster sociétal " à la manière du fameux "revenu de vie" dont on a déjà parlé ici avec Alexis Monville. Elle supprimerait entre autre le volant de 4 millions de chômeurs avec sa cohorte de dépenses
annuelles.