Sur le quai de la 13, à Saint Lazare, un barbu croquait en douce un autre barbu qui, lui, attendait la rame . Ni une ni deux, je croque le croqueur à mon tour et, avant de sauter dans un wagon qui m'emporte vers La Fourche, je lui offre le dessin. Il a à peine le temps de me lancer qu'il a créé un site participatif qui mutualise les dessins des croqueurs du métro que les portes se referment. Je ne sais pas encore que je viens de rencontrer le génial Nicolas Barberon fondateur du site De lignes en ligne