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Blog d'Ivan Sigg

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Carnet quotidien d'un Artiste Peintre Romancier,performeur en peinture digitale animée, consultant en innovation et créativité


DURANT CES DIFFÉRENTES ÉPIDÉMIES DE CORONAVIRUS, ON M’A SOUVENT POSÉ CES 3 QUESTIONS

Publié par Ivan Sigg sur 15 Avril 2021, 05:53am

DURANT CES DIFFÉRENTES ÉPIDÉMIES DE CORONAVIRUS, ON M’A SOUVENT POSÉ CES 3 QUESTIONS
DURANT CES DIFFÉRENTES ÉPIDÉMIES DE CORONAVIRUS (depuis début 2020), ON M’A SOUVENT POSÉ CES 3 QUESTIONS

1) Vas-tu te faire vacciner ? 
— J’hésite beaucoup car les virus suivent leur vie sans relation avec les vaccinations (les vétérinaires nous le disent tous pour ce type de virus ) et puis les coronavirus mutent beaucoup aussi il faudra se revacciner tous les six mois ce qui n’a pas de sens quand on n’est pas un sujet à risque et puisqu’on a des traitements précoces. À moins bien sûr qu’on invente un vaccin universel contre tous les Coronavirus...? 
Pour l’instant je préférerais recevoir un vaccin à virus inactivé qui agirait sur toutes les protéines et non pas seulement sur la spike. Par ailleurs je me méfie énormément des vaccins à ARN messager sur lesquels on a aucun recul.
De toute façon, je ne me ferai vacciner que lorsque les recherches de phases III seront terminées (pas avant fin 2022 semble-t-il ) et que j’aurai la preuve par des scientifiques indépendants que c’est un vaccin sans danger.
En attendant, mon immunité est bonne car je mange végétarien varié et coloré, je marche et je crée, je continue à voir des amis, je prends de la vitamine D, du zinc, et une tasse (33cl) de tisane d’Artemisia Annua tous les deux jours.

2) Et si tu attrapes l’un des variants qui circule ?
— Dès les premiers symptômes je vérifie ma saturation en oxygène, l’agueusie et l’anosmie, puis je cours chez un médecin de ville qui accepte de me donner un traitement précoce comme [ Hydroxychloroquine + azytromicyne + zinc] ou bien [ Ivermectine + azytromicyne ]. 290 études mondiales (à lire en anglais) me confirment la grande efficacité de ces molécules peu chères et non dangereuses.

3) Pourquoi nous dit-on partout en France qu’il n’y a “pas de traitements précoces” et que “l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine : Ça ne marche pas !” et “ Ça se saurait si ça marchait !” ?
— La réponse est plurielle. Je vois 11 grandes raisons. Ce phénomène affligeant est un vrai reflet de notre époque. 
 
      GRANDS MEDIA :
Ce “Tout le monde dit” est du rabâchage d’infos non vérifiées par l’immense majorité des journalistes (Télé, radio, presse) qui n’enquêtent plus et ne vérifient plus les infos qu’ils répètent (ils s’abreuvent de dépêches d’agences).
 
       RECHERCHER SOI-MÊME L’INFORMATION :
Il faut aller chercher et croiser des sources variées sur Internet, notamment celles des médecins de ville qui eux voient des patients au quotidien ainsi que celles des chercheurs de terrain encore au contact avec les patients. L’info de qualité est souvent en anglais et hors de France. Aucun médecin autour de moi n’a eu le temps (où fait l’effort) de lire une seule étude en anglais sur l’hydroxychloroquine ou l’Ivermectine !
 
       MIMETISME
Les français sont dociles, répètent et appliquent ce qu’on leur dit, qu’ils soient citoyens lambda ou journaliste ou médecin. Tout le monde à peur du quand dira-t-on, personne ne souhaite se mettre en opposition avec sa famille, son milieu, ses collègues ou ses pairs sous peine de conflits ou de mise au ban du groupe.
 
       LA PEUR :
La gestion par la peur, de ces épidémies successives de coronavirus différents, a été effarante et bien plus mortelle que les virus eux mêmes. Cette gestion par la peur a permis de masquer les conflits d’intérêts, l’incompétence, les décisions non démocratiques et la destruction de pans entiers de la société. Jamais l’intelligence collective n’a été solicitée par les pouvoirs publics depuis début 2020 ! Au contraire, on a fait taire les voix informées de façon indépendantes.
 
       LES GRANDS LABOS :
Depuis 30 ans les grands labos pharmaceutiques se sont regroupés et cherchent à faire toujours plus de bénéfices sur la santé (ils devraient être nationalisés et devenir des services publics !). Ils versent des millions d’euros et de dollars pour inciter les médecins à prescrire de nouvelles molécules. Ils font pression sur les états et  l’OMS (qu’ils subventionnent), pour obtenir des autorisations de mises sur le marché de médicaments (sans donner accès aux infos) qui peuvent être : efficaces  bien sûr, mais aussi, peu efficaces, voire dangereux. Ils préfèrent faire le choix de payer des milliards en procès perdus (Sanofi, Merck)car ils restent de toute façon bénéficiaires.
 
      CONFLITS D’INTERETS :
De nombreux médecins, souvent devenus administratifs, communiquants, politiques ou chefs d’entreprises (qui ne voient plus de patients), ont des conflits d’intérêts et des liens d’intérêts avec les grands labos. Ils reçoivent de nombreux avantages détournés qu’ils ne signalent pas. Leur pensée et leurs recherches sont orientées par les grands labos et/ou la reconnaissance et la politique.
 
      FORMATION DES ELITES :
Quand on sort de l’ENA ou de Normal Sup on devient un serviteur de la grande finance et des services publics que l’on casse en écoutant le FMI, la BCE et la CE. On est détaché du monde réel et on ne s’adresse plus aux instances démocratiques : on travaille avec des agences de stratégie (Blackrock), des cabinets conseil (Mac Kinsey) et des experts qui ont des conflits d’interets. On peut donc faire fleurir la finance tout en cassant l’industrie, les PME, la culture, et trouver une aubaine dans des épidémies qui anesthésient les mouvements sociaux et la démocratie.
 
      SCIENCE :
La majeure partie des scientifiques pense depuis 50 ans qu’il faut innover technologiquement et que l’innovation technologique peut nous sauver. Or on sait très bien que ce “progrès technologique hors contrôle » est la cause principale du réchauffement climatique et de l’effondrement des écosystèmes. Il est urgent d’ économiser, recycler, réassocier, repositionner. C’est vrai pour toutes les matières, les vieilles molécules, les plantes médicinales, les équations, les savoir-faire...
 
       MÉDECINE DE VILLE / MÉDECINE HOSPITALIÈRE
On a monté les médecins hospitaliers (urgentistes et réanimateurs sous pression car en bout de chaîne de soins) contre les médecins de ville ( habituellement acteurs de la prévention et du soin précoce).
Pour la première fois de l’histoire 1) On a interdit aux médecins de ville de prescrire certains médicaments 2) on a traité ces médecins de charlatans s’ils le faisaient 3) On a interdit l’utilisation de médicaments non dangereux. 4) L’état et l’administration ont interdit la prévention et les soins précoces en renvoyant chez eux les patients avec du Doliprane (dangereux). Et c’est ainsi qu’on a engorgé les reanimations ( Ce que l’on continue à faire) et provoqué des dizaines de milliers de morts. 
 
         CASSE DE L’HÔPITAL
Tous les soignants le disent : le manque de personnel, de moyens, de lits et de temps pour les soins est criant. Le management administratif et financier est une catastrophe. La tarification à l’acte se fait au détriment de la prevention, de la prise en charge du malade et du soin. On casse le service publique pour aller vers la privatisation.
 
      REFLEXES DE GAUCHE
La gauche (toutes tendances confondues) est restée muette face à l’absence de prévention et à l’interdiction des soins précoces ! Je soupçonne fortement de vieux réflexes politiques débiles qui lui ont fait penser “Raoult, Perrone, Toubiana sont de droite. La médecine privée est à bannir. Donc on ne soutient ni ces professeurs, ni les médecins de ville, ni leurs protocoles et préconisations”.
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