Il suffit d'ouvrir l'oeil pour voir la beauté. Un arrêt de bus est souvent un espace théâtral où les futurs passagers se mettent en scène d'eux-mêmes. Trois jeunes filles rayonnantes de grâce, jouent de leur jeunesse, dans le dos d'un homme qui attend.
Jetant un oeil au trottoir, je découvre un monde : des ombres contrastées, une lumière puissante qui brûle le sol, de l'humidité et des éclaboussures. Une image qui parlerait à la fois aux jeunes de la Place Taharir et de la Place Taksim ainsi qu'aux jeunes israéliens et palestiniens ?