Quand on entre à WAD on est accueilli par Adeline et une bonne tasse de thé. Une fois là, on a
envie de jouer 10 fois avec les gens, 10 fois avec les mots et 10 fois avec les images. Et quand on est fatigué, on peut se faire masser ayurvédique par la merveilleuse Elisabeth
Lucchetta.
A WAD on a envie de jouer avec Brice Compagnon le rieur, Bruno Collin l'intérieur (fondateur)
et Suzanne l'administratrice en
tailleur .
A WAD l'atmosphère est familiale, joyeuse, décapotable et on partirait bien sur le champ avec l'équipe pour un "very good trip"
A WAD on ne sait plus où donner de la tête entre les chiens en papier découpés, la table de
pingpong, la mannequin japonaise hérissée de chaussures à talons-aiguilles, le flipper "Famille Adams", et les métamorphoses de Meyer et Sigg
A WAD on croise tous les âges en dégustant des hotdogs, des gauffres au Nutella, des croques, des glaces ben&Jerry's... en écoutant de l'électro trop trop
A WAD l'ambiance est décontractée, pas frimeuse, pas chébran, juste vivante et créative, bref
on est bien et l'on se redit que la retraite à 50 ans à taux plein est l'acte
révolutionnaire qui permettrait aux humains de s'épanouir, partager et transmettre.
A WAD on détourne les UNES du magazine sous la caméra d'Alice et Guillaume de Pixel Carré parce qu'ici la création est un partage tout en rebond, un mouvement rieur qui ne se fige jamais.
La soirée s'arrosait alors à l'amitié ? à la fraternité ? à la beauté ?
non, à La Fidélité ;)