Futurs grands procès pour “Fraude en bande organisée”, « homicide par négligence » et “génocide”

En ce jour d’annonce du futur passeport vaccinal et d’instauration en janvier d’un apartheid entre injectés (2,3,4,5...fois) et non injectés, j’essaie de résumer ici les 23 accusations qui seront au cœur des futurs grands procès pour “Fraude en bande organisée”, « homicide par négligence » et “génocide”.

Ivan 

(Peintre et romancier)

1) Un médecin est tenu de recevoir tous les patients qui ont des symptômes de maladies respiratoires :

Notre gouvernement demande depuis mars 2020 à ce que les malades Covid ne voient pas les médecins de ville et rentre chez eux (avec du Doliprane) jusqu’à ce que leur état s’aggrave et soit souvent irréversible.

2) Après diagnostic, un médecin doit traiter tous les patients symptomatiques qui se présentent à lui : 

Notre gouvernement pour la première fois de l’histoire de la médecine à interdit aux médecins de ville de prescrire, alors qu’ils constituent la première ligne de soins.

3) Lors d’une épidémie, après diagnostic médical, un médecin donne le traitement précoce éprouvé, non dangereux et peu cher, qu’il a sous la main et qu’il estime utile selon l’état de sa science : 

Pour la première fois de l’histoire de la médecine notre gouvernement, en s’appuyant sur des études frauduleuses, a interdit ces traitements puis menacé les médecins (en utilisant son bras armé qu’est le Conseil de l’ordre) qui prescrivaient ces traitements non dangereux et efficaces. Notre gouvernement a déclaré ces traitements et ces médecins dangereux et inefficaces.

4) La médecine de ville permet de donner des soins précoces et d’éviter ainsi des états graves : 

En muselant la médecine de ville notre gouvernement a volontairement engorgé les services de soins critiques et de réanimations des hôpitaux, véritable mise en scène de là souffrance pour mieux soumettre les soignants hospitaliers, terrifier la population et remplir les médias d’images affolantes.

5) L’hôpital est un service public qui se gère selon des critères d’accueil et de soins, et non selon des critères de rentabilité : 

Ceux qui ont poussé aux soins ambulatoires et qui ont introduit la tarification à l’acte en 2004 (Salomon, Castex et Veran), ont supprimé des dizaines de millier de lits et contribué à la casse de l’hôpital français. Ce sont les mêmes qui ont supprimé 7500 lits pendant l’épidémie et fait reporter des milliers d’actes et opérations. Il faudra compter les morts générés par cette effarante gestion.

6) Tester est un acte médical intrusif coûteux qui ne fait qu’étayer un diagnostic médical : 

Notre gouvernement à poussé/obligé les citoyens à se faire tester d’eux mêmes à répétitions - hors diagnostic et relation avec un médecin - même les gens asymptomatiques et les populations sans risque (les moins de 65 ans).

7) Les deux chiffres qui permettent de comprendre l’évolution de cette épidémie sont le « nombre de morts toutes causes confondues par année »  et le « nombre de morts du Covid pour 100000 habitants par semaine » : Pour sidérer la population, notre gouvernement cumule le nombre de morts journaliers depuis mars 2020 et annonce en permanence le nombre de tests positifs (mêlant non symptomatiques et symptomatiques) en les appelants des “cas” (usuellement un cas est un malade). Cette stratégie de communication relève de la manipulation et du mensonge.

8) Le réseau sentinel constitué de généralistes a toujours été un bon repere en France pour comprendre là évolution des infections respiratoires virales ou bactériennes : 

Notre gouvernement à boycotté ce réseau de terrain très efficace.

9) La médecine moderne n’a jamais soigné les gens par  la peur : 

La stratégie de notre gouvernement, de son puissant et opaque cabinet de conseil Mac Kinsey, de son opaque conseil de défense, de son opaque conseil scientifique, et celle des grands médias, a été la diffusion permanente de la peur au moyen de prévisions sans fondements scientifiques et de récits terrifiants, contribuant à fragiliser l’immunité collective physique et psychique.

10) On apprend en médecine qu’on ne vaccine jamais pendant l’épidémie : Notre gouvernement vaccine à tour de bras sans discerner ni les âges ni les populations à risque, pendant les différents variants sans tenir compte de leur courbe de virulence.

11) Une bonne immunité naturelle et une prévention publique de qualité nous préviennent d’une grande partie des épidémies : 

Depuis mars 2020 notre gouvernement a supprimé de sa communication les termes d’immunité naturelle et de prévention. Il a décidé de ne pas distribuer de kits de zinc, de vitamine D et C à toute la population. (80% des français ont une carence en vitamine D)

12) La loi en France  interdit de mettre un vaccin sur le marché s’il existe un traitement efficace : 

Notre gouvernement (avec l’UE, la FAD, l’ OMS, les grandes revues scientifiques comme le Lancet, et les grands labos) a interdit puis boycotté tous les traitements précoces efficaces afin de pouvoir présenter la vaccination comme l’unique solution possible. Notre gouvernement s’est rendu ainsi coupable de plusieurs dizaines  de milliers de morts qui auraient pu être évités avec les traitements précoces.

13) Si le médecin dispose d’un traitement efficace et peu cher comme l’Ivermectine, l’azitromicyne ou l’hydroxychloroquine il doit les utiliser impérativement : 

Notre gouvernement (avec l’UE et la FAD) a choisi de ne pas leur donner une AMM conditionnelle,  mais d’en donner une au Remdesivir, médicament inefficace, dangereux et très coûteux (750€), et de le distribuer gratuitement dans tous les hôpitaux. Les vieilles molécules génériquées repositionnables ne rapportent rien aux grands labos.

14) Il faut 10 ans environ pour mettre au point un vaccin classique à virus inactivé non dangereux : 

En 8 mois on a donné une AMM conditionnelle à des thérapies géniques dont les essais ne sont toujours pas terminés ; dont la pharmacovigilance montrait d’emblée de graves effets secondaires et une faible efficacité (les contrats ont été masqués, les essais et les chiffres truqués par les labos) ; des thérapies géniques qui potentiellement peuvent modifier notre ADN a moyen et long terme ; des thérapies géniques qui ont rapporté des fortunes gigantesques aux actionnaires des grands labos que notre gouvernement a dédouané des possibles effets secondaires.

15) Seuls 10% des effets secondaires des médicaments sont relevés en France car ils sont basés sur une déclaration volontaire :

Notre gouvernement et les fabricants de vaccins cachent volontairement ces chiffres depuis mars 2020. Trois thérapies géniques sur quatre ont été retirées, pourtant c’est  la même stratégie de « refus de soins précoces » qui continue aujourd’hui fin décembre 2021. Et notre gouvernement interdit toujours les vaccins étrangers classiques à virus inactivés.

16) En temps d’épidémie on a toujours isolé les gens malades et protégé les gens à risque, mais on n’a jamais confiné toute une population : 

En s’appuyant sur des études frauduleuses et en allant contre l’avis des plus grands spécialistes, notre gouvernement à confiné à plusieurs reprises l’ensemble de la population, générant des clusters familiaux, une absence générale de prise en charge, une baisse de l’immunité collective, des dégâts psychologiques majeurs et de gros dégâts économiques.

17) La science sait qu’on ne peut éradiquer un virus. Il apparaît, se propage, devient de moins en moins virulent, et disparaît en 3 ans environ. S’il est peu létal la science dit qu’il vaut mieux le laisser se diffuser pour que la population acquiert une immunité collective : 

Notre gouvernement met en place depuis mars 2020 des mesures qui renforcent les variants du virus, retardent la fin de l’épidémie, augmentent le nombre de morts directes et collatérales. 

18) La science se fait en discutant, en faisant se confronter publiquement des hypothèses différentes, et en faisant participer l’ensemble des compétences professionnelles et citoyennes : 

Notre gouvernement et les grands médias ont interdit aux grands spécialistes sans conflits d’intérêts de s’exprimer. Ils ont mis en avant des médecins hospitaliers à conflits d’intérêts (et/ou apeurés), des communicants non spécialistes, mais jamais de chercheurs et médecins de terrains sans conflits d’intérêts. 

19) En démocratie, une crise se gère dans la transparence en stimulant l’ intelligence individuelle et collective : 

Pour gérer cette épidémie notre gouvernement a demandé a l’opaque cabinet de conseil Mac Kinsey de gérer la stratégie sanitaire ; Notre president a créé  un opaque conseil scientifique constitué de non spécialistes  du sujet et ayant des conflits d’intérêts ; Notre président a créé un opaque conseil de défense qui n’a de compte à rendre à personne.

20) La Liberté de pensée et l’expression des opinions contradictoires sont les outils de la démocratie qui permettent de faire émerger des solutions nouvelles : 

Notre gouvernement diffuse une doxa et un langage officiel sur tous les médias et, en accord avec les grands réseaux sociaux, il censure systématiquement depuis mars 2020 les faits contraires à sa stratégie, les raisonnements différents et les verités qui dérangent. Ce sont les actes d’un État totalitaire.

21) On n’a jamais obligé un patient à prendre un traitement en phase expérimentale :

Notre gouvernement oblige certaines categories professionnelles (bientôt l’ensemble ?) à se faire injecter ces thérapies géniques expérimentales dont les risques s’avèrent (pour la plupart des tranches d’âge) plus grands que les bénéfices. 

22) L’ostracisation et l’apartheid sont anticonstitutionnelles et hors la loi dans notre démocratie : 

Avec le “pass sanitaire” qui est en fait un passeport vaccinal, pour la premiere fois de l’histoire notre gouvernement conditionne l’accès aux transports, à la culture, au loisirs, et aux restaurants, pour 10 millions de citoyens, c’est à dire ceux qui, observant la faible létalité  des variants ainsi que les bénéfices et les risques individuels et collectifs, refusent l’injection expérimentale, prônent les traitements précoces et la liberté de choix. Il est prouvé maintenant par de nombreuses études que les injectés peuvent être infectés, faire des formes graves et contaminer à leur tour.

23) Une crise sanitaire est un temps habituellement où les humains se relient, s’entraident, trouvent des solutions communes et où l’intelligence collective s’épanouit : 

Notre gouvernement (avec les réseaux sociaux et les médias) profite de cette crise à l’inverse, pour enfermer les gens chez eux ; pour supprimer les contacts humains dans les familles (Ne vous touchez pas, n’allez pas voir vos grands parents!), dans le travail (Travaillez à distance !), dans l’enseignement (Apprenez à distance !) et dans les commerces (Achetez a distance!) ; pour mettre en place un contrôle général de la population avec le passeport vaccinal avec rappel tous les 5 mois.