JE SUIS SUR LE CUL !
On nous balade comme des sacs à viande depuis un an. On nous glaviote de l’info frelatée à longueur d’ondes. On nous anesthésie l’allant. On nous terrorise. On nous confine d’intérêt. On nous assassine à petit feu. En tant qu’artiste j’en perds-ma-culture.
Pourtant si l’on cherche à s’informer, on trouve sur Internet des centaines d’études qui montrent qu’on peut être prémunis et soignés ; que 0,5 % des gens meurent des différentes épidémies qui viennent de se succéder depuis mars (0,2% quand on est traité) ; que 86% des testés positifs sont asymptomatiques ; que les asymptomatiques ne contaminent pas ; que les enfants ne sont pas porteurs du virus ; que seules meurent hélas les personnes très âgées ou à pathologies à risque (et encore, si on ne les traite pas précocement).
IMMUNITÉ
Rien de mieux que marcher au grand air, faire du vélo, rire, nager, danser, manger varié coloré, si possible végétarien, voir des amis et la famille, ne pas regarder la télé.
Avez vous entendu parler d’immunité dans les grands médias ?
PRÉVENTION
Prendre de la vitamine D, de la vitamine C, du Zinc, de l’Art-emisia Annua, de l’Hiver-mectine.
Avez vous entendu parler de prévention dans les grands médias ?
TRAITEMENTS PRÉCOCES
Ils existent depuis très longtemps : Hiver-mectine, Asie-trop-miss-in, Hydre-aux-cyclo-rock-in, Zinc, Art-emisia Annua
Dans les grands médias vous avez entendu par contre en boucle « On n’a pas de traitement » et/ou « On a le Remdesivir » (inefficace, dangereux et mutagène), « On a le vaccin » (mais on n’a pas les études).
MÉDECINE DE VILLE
En amont les généralistes n’ont plus le droit de prescrire selon leur conscience et leur savoir...
URGENCES
Aux premiers symptômes les urgences vous renvoient chez vous avec du Doliprane, même avec anosmie, agueusie, ou hypoxie heureuse...
HOPITAL
En bout de chaîne quand les patients arrivent sans charge virale mais avec les poumons encombrés, des vaisseaux bouchés et des infections majeures, les médecins des hôpitaux (qui n’ont pas le temps de s’intéresser aux traitements précoces...) sont submergés, font ce qu’ils peuvent, mais les réanimations s’engorgent de tous les cas graves qui n’ont pas été traités...